C'était il y a trente ans, jour pour jour.

29 Août 2014 , Rédigé par Houmed Daoud Publié dans #Société

Il est 06 h 00 du matin heure de Paris quand le Boeing 747 d'Air France s'immobilise sur le tarmac de l'aéroport de Roissy Charles de Gaulle.

Nous étions le 28 août 1984, le commandant de bord annonce que la température extérieure est de 15 degrés. Trop froid pour moi qui arrive d'un des coins les plus chauds de la planète, de surcroît en été !

Je m'apprête à débarquer en même temps que de centaines de passagers que l'appareil a transporté depuis Djibouti. Parmi ces passagers, Ingrid Arstad, la fille de l'ancien Directeur de Savon et Ries a fait le voyage avec moi.

Après avoir passé les formalités de la Police de l'Air et des Frontières, je récupère mes bagages, mais pour ce faire Ingrid m'a aide à m'orienter dans les dédales de cet immense complexe aéroportuaire de la capitale française. Sans elle, je ne serais certainement pas à l'abri de mésaventures qui ne m'auraient pas laissé indifférent ! Si Ingrid n'était pas à mes côtés, c'est sûr, je me serais perdu !

Une fois sorti, c'est Alain de Bures qui m'attend à la sortie des arrivées. Il est venu me chercher pour que nous mettions dès le lendemain le cap sur Perpignan, une ville somme toute sympathique du Midi de la France.

Mais auparavant, l'ami Alain, tient à m'offrir une journée de balade dans la Ville-Lumière, si belle et si mythique pour moi, qui débarque fraîchementt et presque sans transition de Tadjourah La Blanche.

L'Arc de Triomphe, la Tour Effel, sans oublier le Musée du Louvre, sont au menu du programme des visites, des momunents français chargés d'histoire.

Vous l'aurez deviné, nous n'avons pas eu le temps de tout visiter en si peu de temps, mais rendez-vous est pris pour poursuivre la découverte du symbole-même de la France : Paris !

Le lendemain, comme prévu, nous descendâmes dans le Sud du pays en Train à Grande Vitesse (TGV). Là aussi, ébloui, impressionné par le confort l'immensité de l'engin, le sens de l'organisation du personnel au sol, coomme navigant...

La découverte de ce fabuleux pays, se poursuivra tout au long de mon séjour dan,s le Sud, avec le très sympathique accueil de la famille de Bures, à laquelle, je suis DEFINITIVEMENT et AFFECTUEUSEMENT lié !

Je dois tout ce que je suis, à Alain, Marie-Pierrre, Pierre-Yves et, Marie-Madeleine de Bures... et tant d'autres

Houmed DAOUD.

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