Amicale Nee-Beya, une association tadjourienne.

24 Mars 2019 , Rédigé par Houmed DAOUD ABDALLAH

«Décidé, déterminé à relever collectivement et individuellement, le défi du développement économique et social que le XXIème siècle impose aux habitants de Tadjourah la blanche et à ceux de son arrière-pays, un groupe de Tadjourois crée une association qui porte bien son nom puisqu'elle s'appelle «Nee-Beya» (Allons-y en français).

Alwan Daoud Abdallah, Ali Hassan Halloyta, Abdoulkader Mohamed Abro et Kamil Mohamed Ibrahim sont les dirigeants de cette nouvelle structure associative qui espère pouvoir compter parmi celles qui contribuent au processus de développement de l'une des plus belles régions du pays...»

Contribuer au processus de développement et la lutte sans merci contre la précarité impulsés par le Président de la République de Djibouti Monsieur Ismaïl Omar Guelleh, n'est pas une histoire d'une catégorie de personnes donnée, mais l'affaire de tous !

Partant de ce principe, les quatre hommes qui ont créé cette association ont décidé de passer par le tissu associatif pour jouer un rôle actif dans une nouvelle dynamique qui est en train de faire son apparition dans la région.

Pour ce faire l'Association Nee-Beya - qui apportera sa pierre à l'édifice que les Tadjouriens bâtissent ensemble -, interviendra dans différents domaines, conformément aux textes de ses statuts.

Par ailleurs, elle se propose de mettre en place un partenariat technique et financier non seulement avec les associations locales et étrangères, mais aussi, avec les entités publiques nationales et internationales. Les démarches citées, sont inscrites sur la feuille de route que l'Amicale «Nee-Beya» entend exécuter rigoureusement, avec le concours de ses adhérents et bénévoles qui ne ménageront aucun effort selon les dirigeants joints par téléphone...

«A Tadjourah, le défi est Grand, mais nous avons pris le temps de grandir pour pouvoir le relever et de gagner le pari...», ajoute un d'entre eux.

Un adhérent de «Nee-Beya» de conclure par «Rien ne sera plus comme par le passé à Tadjourah pour les associations, qui sont confondues par leurs propres dirigeants, avec des entreprises». «Nous comptons démocratiser la gestion et l'implication dans les affaires associatives...»

Bon vent.

Houmed DAOUD

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