Ali AREF BOURHAN épouse Filsan Mohamed Miguil : Une noce haute en couleur

14 Octobre 2014 , Rédigé par Houmed Daoud

L'ancien Président du Conseil de gouvernement, M. Ali AREF BOURHAN s'est marié ce lundi soir à Djibouti, mettant ainsi un terme, à la vie de célibataire qu'il menait depuis de nombreuses années.

Filsan Moohamed Miguil, jeune femme native d'Arta et Ali Aref Bourhan ont célébré leur union au Kempinski Palace de Djibouti en présente d'un par-terre de convives.

De très nombreuses personnalités djiboutiennes et étrangères ont répondu à l'invitation du Président Aref

et de celle qui a désormais accepté de partager sa vie avec Ali AREF BOURHAN Bey.

Parmi les personnalités présentes au sein de ce complexe hôtelier de luxe, on notera entre autres, la présence du Premier ministre M. Abdoulkaader KAAMIL MOHAMED, de très nombreux ministres du gouvernement Djiboutien, deM. Serge MUCETTI, Ambassadeur de France auprès de la République de Djibouti

Parmi les invités de prestige, on observera également la présence du Chef d'état-major de la Défense, le Général de division, Ali HASSAN KAMIL, l'ancien ambassadeur de Djibouti auprès de l'Union Européenne et du royaume de Belgique, M. Mohamed MOUSSA CHEHEM.

Etaient aussi présents, des artistes comme Houssein Hayle, les intellectuels, tels que le Directeur de la Rédaction de La Nation, M. Ali BARKAT SIRADJ, le Président de la CNDH, M. Ali MOHAMED ABDOU ….

Sur ce cliché emprunté à notre ami et confrère Ali Barkat Siradj, la jeune Filsan, 27 anss, est rayonnante dans les bras de l'un des hommes politiques les plus célèbres de Djibouti pour lequel, son cœur a «penché».

En outre, son ancienne épouse (Française), a également fait le déplacement à Djibouti en compagnie de leurs enfants ainsi que de leur petite-fille, pour prendre part à ce mariage qui a retenu l'attention de tout Djibouti.

Ali Aref Bourhan Bey, arrière petit-fils du célèbre Pacha, Gouverneur de Zeyla, fût un des acteurs politiques de tout premier plan de 1957 à 1976.

Il a été de 1960 à 1967, Vice-Président du Conseil de Gouvernement, puis, Président du Conseil de Gouvernement après le référendum du 19 mars 1967, pour démissionner le 29 juillet 1976, se sentant lâché par la France, puissance coloniale qui «tirait les ficelles» un peu dans tous les sens.

Depuis, il s'est reconverti dans les affaires, qui ont toujours été florissantes pour lui, devenant ainsi, l'une des plus grosses fortunes du pays.

Houmed DAOUD

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